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Rêves d'un soir

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Bienvenue dans l'irréalité de ce monde
Mardi (26/04/05)
L'appel...
Je l'entends.... Ruisselant dans mes veines
Je la sens.... S'emparant de mon être
Je la vois.... Tel un aveugle imaginant ses formes
J' essaye de la toucher, aussi intangible que l'air
L'obscurité s'écarte, la lumière prend place
Découvrant peu à peu, la bienfaitrice de mon bien être.
Moi, être impur, qui suis-je pour la mériter?
Cette sensation, qui ferait s'élever des montagnes, décrocher la lune, terrasser le plus vil des prédateurs.
Son doux courant m'ennivre et m'emmene vers les cieux.
Bercé par les nuages, attiré par son appel,
Son étreinte si douce,
m'empèche la dérive vers de sombres orages.

"Ô amour... Qui suis-je pour te mériter?
- Tu ne me mérites pas. Je te prends..."
Ecrit par Blackvador, a 23:29 dans la rubrique "Rêves d'un soir".
Lire l'article ! (suite de l'article + 2 commentaires)


Fable du docteur "Bulk" ;)

Le crapaud, se regardant dans la marre, vit son pale reflet teinté d'une couleur verdartre, ondulé sur la surface de la marre. Tous les jours venants, sa déprime, si elle devait être pesée, ferait le poids du monde, tant l'echine du battracien était courbée. Une libellule au corps d'un bleu sombre et métallique, aux ailes reflètants les couleurs d'un arc en ciel passait près de celui-ci et lui posa la question: " Que regardes tu d'un air si triste au fond de l'eau mon jeune ami?
- Mon reflet...Mon reflet, si insipide, me donne de sombres pensées. Dit le crapaud.
- Mais en quoi cela te gène d'être toi? Ta peau est si belle! Et la couleur te va si bien... Lui répondit la libellule.
- Merci gentille libellule. Ton vol est si gracieux, et le bleu profond de ton corps brille autant que la clarté d'un rubis.
Mais les abimes du déséspoir m'ont englouti. Et je ne crains de pouvoir continuer sur le chemin de la vie. Se morfonda le crapaud.
- Mais regarde autour de toi, regarde le monde!! Lui répondit la libellule"
Le soleil brilla de milles rayons pour réchauffer son coeur. La pluie tomba pour étancher sa soif. Le vent lui amena la brise matinale des fleurs de printemps,
pour l'abreuver de milles senteurs parfumées. Ses congénères ainsi que d'autres animaux de la faunes, atristés par son malheur s'empressèrent autour de lui, et lui tendirent la main.
Un doux sourire emana du crapaud et embrasa la foule qui l'avait soutenu dans son malheur. Dans un moment d'exaltation soudaine, il embrassa la libellule qui elle même, profita pour l'embrasser à son tour.
- Merci Gentille libellule. Tu m'à fais voir la beauté de ce monde.
- Ta beauté n'a d'égal que la chaleur de ton coeur... Gentil crapaud.

Fin
Ecrit par Blackvador, a 21:10 dans la rubrique "Rêves d'un soir".
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Pas d'images, seulement le rêve....
Pas d'images, seulement le rève
Ou vont mes ecrits,
Pour un voyage éphémère
Au coeur de celui-ci.
Le soulagement, que les mots
Puisse se reposer ici.

Le tumulte incessant des pages,
Ne ralentit en rien leur progression.
Leur voyage arrivera à terme,
Dépendant de mon imagination.
Merci au mot "amour"
Donnant vie à cette pulsion.

Pas d'images, seulement le rève...
Ecrit par Blackvador, a 01:37 dans la rubrique "Rêves d'un soir".
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